"Je ne pensais pas que ça allait être aussi rapide" : Jérémy Frérot se confie sur la fin des Fréro Delavega

11 mai 2021 à 13h20 par A.L.

VOLTAGE
Jérémy Frérot raconte la séparation des Fréro Delavega.
Crédit : Capture d'écran Instagram @jeremyfrerot

Alors que Florian Garcia alias Flo Delavega a récemment décidé de signer son grand retour dans l'industrie musicale avec son premier album solo baptisé "Rêveur Forêveur", son ancien acolyte Jérémy Frérot vient de se confier sur leur séparation.

Souvenez-vous. En juin 2017, le célèbre duo des Fréro Delavega se séparait après une dernière tournée en France et un concert place des Quinconces à Bordeaux, devant 25.000 spectateurs.

Après deux albums, un million d’exemplaires écoulés, des tubes à gogo tels que Le chant des sirènes et quatre ans d'absence, Jérémy Frérot, l'un des deux membres du duo avec Flo Delavega, était l'invité de Michel Drucker dans l'émission Vivement dimanche ce week-end sur France 2. L'occasion pour lui de revenir sur la fin des Fréro Delavega.

"Il m'a expliqué qu'il voulait arrêter tout"

Alors que Jérémy Frerot a sorti son album Meilleure vie, qui cumule à ce jour un peu plus de 10.000 ventes, le compagnon de Laure Manaudou vient de raconter comment son duo avec Flo Delavega s'était séparé à des milliers de kilomètres de la France, sur une île péruvienne. "On était ambassadeurs de l'ONG Pei, et on allait là-bas faire des gestes de premier secours à des Indiens. On rencontrait ces gens et au milieu de cette île, il m'a expliqué qu'il voulait arrêter tout cet environnement", a ainsi confié Jérémy Frérot.

"Je m'en doutais mais je ne pensais pas que ça allait être aussi rapide. On avait fait deux albums et je voulais en faire un troisième. Et surtout il a annoncé ça avant une tournée de 25 dates de Zéniths, ça a été assez violent. Il ne pouvait plus supporter tout ce chamboulement de vie, les projecteurs, la lumière", a continué le chanteur qui assure qu'ils sont restés bons amis. "On s'appelle, on se voit, on se demande des avis sur nos albums respectifs", a-t-il en effet déclaré. Tout est bien qui finit bien !